Victor CERRATO dans les journaux français
Miguel Darrieumerlou, revistero bien connu des aficionados français a fait le portait de Victor CERRATO sur sa revue « TOROS » du 7 avril 2023.
Miguel Darrieumerlou, revistero bien connu des aficionados français a fait le portait de Victor CERRATO sur sa revue « TOROS » du 7 avril 2023.
Victor CERRATO a pris goût à découvrir la France ce mois de mars écoulé. Samedi 4 mars, à Le Houga (Gers), il effectue une « Tienta » organisée par la peña La Suerte devant 3 vaches de Alma Serena, dimanche 26 mars, à Gamarde les Bains (Landes), il effectue la « Tienta » du matin de la corrida de deux vaches de José Cruz et sa troisième incursion en terre française pour ce mois de mars, hier soir samedi 31 mars, pour honorer de sa présence (seul torero présent) à la présentation du cartel de la novillada de Soustons du dimanche 6 août 2023.
Julien Lescarret associé à Nicolas Vergonzeanne étaient aux commandes de la présentation de leur nouvelle formule du trophée de France avec 4 novillos pour 4 novilleros, les deux meilleurs ayant le privilège de toréer les deux novilleros restants. Face aux bétail de Jean Louis Darré, Camino de Santiago, les novilleros Solalito (vainqueur ces deux dernières années), Raquel Martin, Victor CERRATO, Fabien Castellani essaieront de se qualifier pour la finale.
Deux novilleros français dont un débute en piquée cette année, deux espagnols dont une novillera, La Vuelta, société organisatrice en collaboration avec la commission taurine de Soustons, nous propose un beau programme.
Après avoir reçu son cinquième prix de la saison 2022 à Pedrajas de San Esteban samedi 25 mars, Victor CERRATO a pris la route pour rejoindre les Landes françaises où l’attendaient dimanche matin les vaches de José Cruz à Gamarde-Les-Bains.
La première vache, très mansa, était impossible à fixer, évitant le cheval, ce qui n’a pas permis au picador Alain Bonijol de la piquer, ce qui l’aurait certainement amené à changer de comportement. Très vive et préférant à la cape un long échauffement autour du ruedo, souhaitons qu’un ganadero landais la conserve pour assurer le spectacle lors des prochaines courses landaises dans la région!
La deuxième vache avait un comportement normal de bétail brave. Se laissant guider à la cape, volontaire au cheval, cette vache était dotée d’une noblesse particulière. Victor CERRATO, lors de cette première apparition en France devant un public d’aficionados, aura déroulé sa technique, son sens artistique. Le ganadero était ravi, les spectateurs surpris de découvrir ce novillero inconnu et impatients de le retrouver dans une arène française.
Après avoir tienté des vaches de trois ans intoréables chez Baltasar Iban mercredi dernier, Victor part aujourd’hui a Avila pour une nouvelle session de « tientas ».
Demain, samedi, c’est à Tudela qu’il effectuera une « Tienta » de vaches de Navarra avant de rescendre à Pedrajas de San Esteban où il va recueillir le prix gagné lors de la novillada de 2022 et prendre ensuite la route vers les Landes (France) pour être prêt dimanche matin à Gamarde les Bains à 11 heures. En effet, il effectuera la « tienta » de deux vaches de José Cruz devant un public français qui assistera à la corrida de l’après-midi, toujours devant le bétail du même ganadero. Quelle fin de semaine!
Le président Michel MANCIET et les adhérents de la Peña LA SUERTE proposait ce samedi 18 mars, en matinée, lors de leur 2ème Printemps Culturel Folgarien, la traditionnelle Tienta.
Ils ont eu la bonne idée de sélectionner la ganaderia Alma Serena et notre novillero Victor CERRATO.
Comme nous en avons l’habitude avec cet élevage, les trois vaches présentées ce jour étaient excellente, ce qui a permis au novillero de bien s’entraîner et de s’essayer à de nouvelles figures, dans la perspective d’une saison prometteuse.
La première vache ne semblait pas très volontaire pour aller au cheval, mais était dotée d’une grande noblesse.
La deuxième paraissait la plus complète, recherchant la pique, et pas moins noble que la première.
La troisième pouvait paraître la plus intéressant pour le novillero, car plus compliquée, avec la tête haute et un peu folle.
Le bon repas servi ensuite au foyer était animé par le président qui assurait la « charla » en faisant participer novillero et convives. Cette peña gersoise sait fidéliser ses nombreux adhérents en proposant de nombreux événements tout au long de l’année, c’est la raison pour laquelle certainement, on pouvait rencontrer des personnes des Landes, du Gers, de Bordeaux, de Haute Garonne…
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